
Vous devez au moins connaître mon nom mais je vais vous le redire. Moi c'est Brooke mais faite comme tous le monde et appelait moi La Vipère. Vous devez sans doute vous demander pourquoi on m'appelle comme ça !? Et bah c'est très simple, ici à New York, je suis la personne la plus respectée, la plus crainte et évidemment la plus demandée au près des hommes. Et non je n'exagère rien du tout, depuis ma tendre enfance on m'a toujours dis de ne faire confiance à personne, même pas en sa propre famille et surtout que si on voulais quelque chose, il fallait tous faire pour le posséder. Alors, c'est ce que j'ai fait le jours où j'étais arrivée dans ma nouvelle université après la mort de mon paternel qui m'a élevé seul après la mort de ma mère à l'âge de mes 10 ans. Ma mère est morte devant les yeux de mon père et également devant les miens et mon père est mort devant mes yeux, lui aussi, il y a 2 ans de cela maintenant. Et oui, il c'est passé énormément de choses en 2 ans pour que je devienne pire que comme je l'était auparavant. C'est à dire : cruelle, sans c½ur, méfiante et tous les adjectifs semblable à ceux là. Je vais vous raconter toutes mon histoire, du début jusqu'à mes doutes de maintenant. Alors accrochez vous et lisez bien tout jusqu'à la fin. Donc pour vous racontez ma vie, je vais commencer par le tout début, c'est à dire à partir de la mort de ma mère. Là où tout a commencé...
Donc comme je l'ai dit plus tôt, ma mère est morte quand j'avais 10 ans. C'était une très belle femme d'une trentaine d'année. Mon père étais le chef d'un des plus gros gang de New York, il avais 34 ans quand ma mère est morte. Ma mère était consciente du danger quelle courait en restant avec mon père mais vous savez, l'amour rend aveugle. Moi perso je ni crois pas en tous ces trucs mais bon bref, je m'égare. Donc je disais... Vous pouvez penser que comme mon père pouvait être cruel, il n'aimais pas ma mère !? Bah si vous pensez cela vous vous trompez éperdument car du plus loin que je me souvienne nous étions très heureux tous les 3. On pouvait dire que nous formions une famille a peu près normal, si évidemment on ne comptait pas toutes les tentatives des gangs adverses de me kidnapper moi ou ma mère ou toutes les fois où mon père se retrouvez en plein milieux d'une confrontation entre son gang et un autre juste devant moi. Mais malgré tous ça mes parents étaient heureux et moi de même. Je suis persuadée que vous vous dites que mes parents étaient irresponsables de faire vivre ça à une enfant !? Mais ils n'avaient pas vraiment le choix, ils m'aimaient et ne voulaient pas se séparer de moi alors j'ai vécu avec et franchement je pense m'en être plutôt bien sorti. Vous voulez sans doute savoir comment ma mère est morte !? Et bah c'est très simple à expliquer. Elle est morte le 18 Janvier 2005, 2 jours avant mon anniversaire et le jours où mon père est revenu d'un de ses nombreux « déplacements d'affaires ». J'étais chez une de mes nombreuses amies car oui on pouvait dire que j'étais assez « populaire » à cette époque, mais pas pour le faite que mon père était un chef de gang. Non, c'était pour moi ou plutôt mon physique « avantageux », comme disais ma tante. Mon père était venu me chercher dans les environs de 16h, j'étais heureuse de le revoir comme ça faisait plus de 3 mois que je ne l'avais pas vu. Nous étions arrivés assez rapidement chez moi comme je n'habitais pas très loin de chez mon amie. J'étais arrivée devant la porte avant mon père mais celle ci étais entre-ouverte alors je l'avais dis a mon père. Je me rappelle mot pour mot ce qu'il m'a dis quand il a vu la porte:
Mon père: « Brooky, va te cacher dans la petite cabane que je t'ai faite. Ne sors sous aucun prétexte et ne fait aucun bruit. Enferme toi à clés et tu n'ouvriras que si tu entend frapper 3 fois à la porte et qu'entre les coups tu puisse compter jusqu'à 2. Allez vas-y et fait ce que je t'ai dis d'accord !? »
Moi : « D'accord papa. A tout à l'heure, je t'aime »
Mon père : « Je t'aime aussi ma Brooky chérie »
Je parti faire ce que mon père m'avais dis. Je m'enferma donc a double tours, éteignis toutes les lumières et attendis que mon père revienne. J'entendis quelqu'un arriver, alors je me leva et m'avança vers la porte. J'attendais que mon père frappe à la porte les 3 coups mais rien. J'attendis encore quelques secondes quand on essaya d'ouvrir la porte. Je ne fis aucun bruit et me dirigea sous le canapé. La personne insistait encore quelques fois et j'entendis d'autres pas s'approcher.
Et là j'entendais des cris, ma mère, et un coup de feu. Puis un home crier et un autre coup de feu. Je ne disais rien, je ne pleurais pas. Mon père ma appris à être forte et en aucun cas pleurer, alors je restait sous le canapé, sans bouger. Un silence morbide faisait son entrer, je ne comprenais rien à la situation et pourtant je savais une seule chose. C'était que ma mère avait été touché par l'une des balles ainsi qu'un des hommes d'un autre gang sans doute. Vous pensez sans doute que comme n'aillant que 10 ans je devait tétanisée par la peur comme sans doute n'importe quelle fillette de mon âge mais non. Moi, j'étais paisiblement installé sur le canapé a écouter les moindre petits bruits qui pourrait m'aider à savoir combien il y avais de personne dehors et surtout où ils étaient. C'est là que j'entendis 3 autres bruits puis comme tout à l'heure plus aucun bruit, ce silence qui refit surface. Au bout de 5 longues minutes j'entendis 1 coups à la porte, je comptais alors jusqu'à 2, puis le 2ème coup et je recomptais jusqu'à 2 et là le 3ème coups. Je me précipitais vers la porte et l'ouvris en vitesse. Je vis devant l'une des choses que personnes ne pourrait envisager de voir de toute sa vie : mon père debout, avec un visage dépité et ma mère dans ses bras perdant énormément de sang. Elle avait un visage très pâle, mais elle gardait son sourire merveilleux qu'elle me faisait tous les soirs avant que je ne me couche pour éviter que je fasse un cauchemars car même si j'étais très forte pour mon âge j'avais énormément peur des cauchemars. Je savais déjà à quoi m'attendre, elle allait mourir, j'en étais persuadée. Mon père l'allongea sur le canapé, ma mère lui pris la main et lui chuchotait quelques mots dans son oreille. Mon père était triste, très triste et je le voyais. Alors je m'avança vers eux et fis un câlin à ma mère. Vous savez celui que vous faites quand vous dites au revoir à quelqu'un et que vous savez que vous ne reverrez jamais et bah c'en était un comme ceux là. Elle me caressa soudain le dos tout en me disant ces quelques mots dans ma petite oreille :
Ma mère : « Je serais toujours là pour toi quoi qu'il arrive. Elle me toucha le c½ur de sa main droite. Ne baisse jamais les bras quoi qu'il arrive et surtout reste forte et surveille ton père pour moi s'il te plaît ma Brooky. Elle me lâcha doucement. Je t'aime ma chérie... »
Moi : « Moi aussi je t'aime maman... Je te promet je m'occuperais de papa coûte que coûte. Je resterais forte pour toi. C'est promis. » Je lui fis un lèger baiser sur le front et elle fis de même.
Ma mère : « Je suis fière de toi Brooky chérie. »
Cétait ces derniers mots avant quelle ne plonge dans un profond sommeil. Je me tourna et pris mon père dans mes bras tout en lui faisant une promesse qui restera à jamais dans ma mémoire :
Moi : « Je te promet papa que je serais toujours là pour toi. Je te protégerais quand je serais plus grande et je vais travailler très dure pour être encore pus forte... Je t'aime plus que tout papa. » Il me serra un peu plus fort et me fis un léger baiser sur le haut de mon crâne.
Mon père : « Moi aussi je t'aime Brooky chérie. Je serais là moi aussi pour toi et je t'aiderais à être plus forte encore... ».
Nous repartions dans notre maison et mon père me coucha dans mon lit.
3 jours après il y avait l'enterrement de ma mère. Je ne pleurais pas j'avais promis à ma mère d'être forte alors je l'avais fait. Je connaissais la plus part des personnes toutes sauf un homme et un petit garçon qui devait avoir mon âge. Il était brun avec des yeux intenses. À côté de moi il y avais les jumeaux, mes deux seuls vrais amis. C'étais les seuls personnes en qui j'avais confiance à part mon père évidemment. Le jeune garçon s'avança et je fis de même.
Petit garçon : « Je suis désolé pour ta maman... »
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La suite dans le prochaine épisode. Le deuxième chapitre apparaîtra au bout de 10 likes ♥ Donnez moi vos avis sur celui-ci. Il est assez court désolé.. Le prochain sera beaucoup plus long.
The-Truth-Fiction, Posté le lundi 11 août 2014 08:10
C'est dommage qu'il y ait quelques fautes, et évite de faire des répétitions. Ce que je fais, pour éviter d'en faire, c'est de chercher le synonyme d'un mot que je répète. Comme ça, tes textes seront plus complets. Il y a aussi le mot "Bah".